Bonne chance, Camarade, c'est comme si c'était fait, et on imagine la terreur de Poutine (et ultérieurement l'angoisse d'Obama) devant l'offensive diplomatique de l'ex-maire de Nantes, vu le poids de la France dans l'affaire syrienne et particulièrement son poids militaire dans la coalition.
Mais le but n'est pas là, il est dans l'agitation démonstrative et le faire semblant, histoire de montrer à l'électeur gaulois que le Hollande règne sur le monde et le soumet à ses lois. Enfin presque...d'autant que l'ennemi à abattre (Bachar en l'espèce) risque possiblement de survivre à la disparition prochaine (?) de Hollande et de Ayrault. L'histoire est quelquefois cruelle...
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