jeudi, octobre 20, 2016

Quand la police tousse, le gouvernement a la fièvre

C'est marrant mais anecdotique.
L'arroseuse arrosée....
L'invisible et microscopique primaire des écolos a eu un résultat complètement  inattendu, le retour à la base de Duflot, la moi-qui sait tout et  a toujours raison. Il va falloir qu'elle se trouve une autre cause (on en manque certes pas) si elle veut continuer à exister aux frais de la collectivité mais les camarades des autres causes vont faire gaffe à l'arrivée de la tigresse verte.

Ce n'était naturellement pas l'événement du jour, celui ci étant monopolisé par la colère des pandores que les ministres compétents ( on ne rigole pas), hésitant entre discipline-scrogneugneu et laisser-faire-risette, ont le plus grand mal à gérer. L'inénarrable repris de justice secrétaire national du PS y voit la main du FN, fine remarque qui va surement calmer la grogne...

Reprenant les plus vieilles ficelles de l'atermoiement, le ministre de l'Intérieur a reçu "en urgence" les organisations syndicales (qui courent après leurs troupes)  pour leur annoncer le lancement dès lundi de concertations dans les départements (moins près de toi, mon dieu) sur les revendications policières.

Les conclusions seront remises "en décembre pour mise en oeuvre immédiate dès 2017". Un plan "de sécurité publique" sera lancé en novembre et "complété des résultats de la concertation", a assuré Cazeneuve, promettant un "dialogue riche", sur la dotation en nouveaux matériels ou l'amélioration des conditions de travail.
Mañana es otro día...

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