Au premier rang de ceux-là figure la réélection des députés socialos en 2017 dont beaucoup sont directement menacés par l'incurie du chef et la possible vague bleue blanche. Le groupe socialiste à l'Assemblée se sent menacé (la mafia a paura) et on entend déjà les excellences socialos (et pas des moindres) marmonner l'impensable conjuration du sort contraire en croisant les doigts.
Comment s'en débarrasser, comment faire disparaître celui qui creuse sa tombe (et celle de ses camarades) avec sa langue, qui choisir pour le remplacer (à part moi, bien sûr) et assurer la continuité des prébendes et des bénéfices?
En plus la lettre d'excuse de Hollande aux magistrats est assez ambigüe pour ne pas enterrer la polémique, puisqu'il s'excuse pour la peine causée mais pas du tout pour les propos rapportés...sauf si la lâcheté.... bon on arrête la dite polémique mais pas la machine.
Certains psys voient dans l'acharnement hollandais une tentative cachée de suicide politique, histoire de trouver une bonne raison de ne pas se représenter pour éviter la honte d'un échec sanglant;, mais souvenons nous de Sénèque Qui nihil polest sperare, desperet nihil.
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