Valls a raison de renouveler sa confiance à Platini, un gros travailleur qui a fourni des services pour 2 millions €, pour des travaux effectués entre janvier 1999 et juin 2002, mais aussi un gros travailleur patient qui a attendu 10 ans pour se faire régler la facture.
Le soutien et son bénéficiaire dont d'autant plus méritoire et méritant que la FIFA ressemble de plus en plus à un tas de lisier en décomposition car, dès que de l'argent on fait litière, on passe de la paille au fumier.
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