Faut suivre

Hollande, qui était contre avant l'été, est pour les quotas de migrants au début de l'automne, même si les Français restent majoritairement opposés à leur accueil ! Il est en effet difficile pour un président qui se dit socialo (eh oui, on ne rit pas) de laisser le monopole du coeur à l'Angela, chrétienne-démocrate (quelle horreur) et nouvelle madone des migrants syriens.

Comme le le mouvement est tardif et largement contraint, la contorsion sémantique est de rigueur pour éviter de se faire traiter de mollasson et de suiviste à la traîne de la patronne de l'Europe. Le communiqué commun  ne parle plus de quotas mais de répartition des migrants. C'est le coût de la pudeur hollandaise...