Telle était la question qui ne se posait pas au Sommet de Québec.
L’Organisation de la francophonie (OIF) jouit (mot idoine) d’un budget de 80 millions € financés à 50% par la France, utilisés à près de 40% pour les frais de fonctionnement particulièrement élevé dans le 7ème arrondissement de Paris en raison d’un environnement difficile.
En effet, c’est au cœur de ce quartier populaire et bon enfant que le cabinet du secrétaire général de l’organisation abrite les 38 membres de son cabinet dans un charmant hôtel particulier, rue de Bourgogne, trop petit pour les services, une très bonne douzaine de directions richement dotées en personnels, 200 à vue de nez, exilés quai Citroën.
Une visite sur le site web de l'OIF permettra de saisir les tâches complexes mais exaltantes qui requièrent le déploiment de tels effectifs bureaucratiques :
http://www.francophonie.org/index.cfm
P.S. Le Rwanda élimine le français de son enseignement...
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