"La Francophonie est très peu connue. Il y a un manque de visibilité car en France on ne croit pas à la Francophonie et le pays ne défend pas sa langue", a expliqué Hervé Bourges, auteur d'un rapport remis au secrétaire d'Etat à la Coopération et à la Francophonie.
Et il en sera très longtemps encore ainsi, tant que le budget de la cause sacrée sera dépensée majoritairement dans le 7ème arrondissement de la capitale pour entretenir des machins bureaucratiques hors de prix et des légions de remueurs de papiers.
Parmi les remèdes de cheval proposés, l'auteur avance avec beaucoup d'imagination, la création d'une Académie francophone et d'une fondation de la francophonie, dont, à notre très humble avis, les présidences conviendraient parfaitement au très distingué auteur du rapport.
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