La réforme que propose Sarkozy pour le lycée paraît une absolue nécessité de principe. Face à elle, les 800 corps du ministère de l'éducation, la foule des syndicats catégoriels, l'inspection générale, l'administration kafkaïenne, tous raidis et arc-bouté depuis 30 ans sur le maintien du statu quo, des statuts, des concours baroques, des bacs byzantins, de la promotion strictement à l'ancienneté, des avantages acquis, et des programmes encyclopédiques.
Un seul ministre de l'éducation, Allègre, avait osé s'attaquer à la forteresse, avec un succès qui reste dans toute les mémoires.
Bonne chance, les petits loulous pour le nouveau lycée en 2012 !
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