lundi, juin 09, 2008

Id facere laus est quod decet, non quod licet.

Suce à Total, c'est le dernier gadget à la mode pour faire croire que le gouvernement est à la pompe alors qu'il est aux abonnés absents.

Imaginons un peu que Total ne soit plus du tout française. Est-ce que le prix de l'essence en serait plus bas ? Est-ce que Bussereau des transports en serait moins tétanisé et moins à côté de la plaque ? Est-ce que le Borloo du Grenelle se remuerait plus pour limiter la vitesse sur autoroute (par exemple)?

Que se passera-t-il quand le prix du baril dépassera les 200 dollars ? Si gouverner est prévoir, y compris des choses désagréables, on peut décréter dès maintenant la vacance absolue (au sens du vide absolu) du pouvoir.

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