mardi, janvier 03, 2017

Le P.S. ne meurt pas, il est assassiné par des sicaires qui ont noms et adresses

Je m'en fous je suis pas socialiste mais quand même, quel spectacle!
[Pas de droite non plus d'ailleurs, juste anar du centre, tout droit, au fond du couloir, près du radiateur...]

Le Peillon, trois ans de non-cotisation au P.S. et signalé absentéiste à Bruxelles (juste assez pour toucher ses indemnités, surnom Jackpot,  cf Canard enchaîné) te torche en quelques jours un programme présidentiel qui vise, entre autres menues  tâches herculéennes, à refonder l'Europe...
Sans honte, et sans remords.

Le Valls, roc de fermeté feinte in tempo hollandese et spécialiste du menton en avant et du 49.3, affirme qu'il a changé et propose un train de trucs qu'il aurait été bien inspiré de mettre sur les rails il y a moins de trois semaines.
Sans rire et sans vergogne.

Et on ne parle pas des autres zombies dont le nom est tout simplement difficile à retenir ni de l'ineffable l'habitat Montebourg ou de la réincarnation de Fouquier-Tinville... Conjuguer les clowns à tous les temps et tous les modes...

Les faisans, qui continuaient de passer, rouges, jaunes, bleus, verts, au-dessus du cirque blanc, brodaient d'éclatantes soies, de décors sveltes et changeants, le lumineux plafond du ciel. (Le Jardin des supplices, Octave Mirbeau)

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