Ce qui théoriquement en dit aussi très long sur le fin pilotage de nos capacités énergétiques, pour 75% de la puissance produite, localisées dans 58 réacteurs nucléaires (63 gigawatt) et sur le bordel ambiant dans les instances (in)compétentes.
Plus d'un demi-siècle après la fin de la guerre, la France tremble de peur devant une épidémie de grippe et une vague de froid !
Pour ne pas parler du véritable montant de la dette d'EDF qui était de 66 milliards d’euros fin 2015 sans compter les 100 milliards à financer dans les centrales françaises et les 20 milliards à rajouter pour la Grande-Bretagne.....
Le temps nous presse sans trêve vers le trou final. (Desproges)
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