Bing le Sarko
Boom le Juppé
Caca le Copé...
Je crains que la primaire de la gauche soir beaucoup plus terne car elle n'offre aucune statue de commandeur à abattre. Valls, oui bon, mais quand même trop petit pour être grand, trop menton pour être penseur et trop ignoré pour que sa chute marque les esprits.
Pour le reste c'est un ramassis de second couteaux, ex-trotskos et forcenés du vocabulaire nationalo-progressiste, qui se forgent des mollets pour une prochaine escalade, juste incapables de se pondre un programme fors d'invraisemblables promesses de dépenses.
On comprend un peu mieux le succès apparent (?) de Macron , homo novus qui ne traîne pas depuis un demi-siècle dans les coulisses du pouvoir, de la télé et des magouilles parlementaires et qui, faut le souligner, a travaillé (une rareté) !!! Mais il n'est pas dans la pièce ce qui retire beaucoup de suspense.
Seul épisode rigolo (mais tout est bon dans la lutte finale pour la Belle Alliance Populaire), Montebourg, face à Médiapart, a visé le passé judiciaire de Jean-Christophe Cambadélis.
"En 2006, l'actuel patron du PS a été condamné à six mois de prison avec sursis et 20 000 euros d'amende dans l'affaire des emplois fictifs de la Mutuelle nationale des étudiants de France (Mnef). Six ans plus tôt, il avait eu droit à cinq mois de prison avec sursis et 100 000 francs d'amende (15 000 euros) pour un emploi de complaisance dans une société de gestionnaire de foyers de travailleurs immigrés" (Le Point)
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