Les primaires socialos ressemblent au jeu de Monopoly où on dépense de l'argent fictif pour le grand frisson des participants.
Le jeu n'est pas entièrement distrayant mais il a un énorme avantage pour des candidats a peu près tous issus du sérail du calife de la porte claquée, il évite de parler des vrais problèmes dont certains hantent le subconscient de nombre d'entre nous car il est politiquement incorrect d'en parler sauf à se faire traiter de tous les noms ?
Jusqu'où ira l'enlisement de nos maigres forces dans le Nord du Mali ?
Que faire devant l'irrédentisme conquérant de portions entières de la banlieue ?
Itou devant la montée en influence des sectes salafistes ou wahhabites ?
Si on ne tue pas tous les Français engagés avec Daesh, laisse-t-on les survivants revenir sur le territoire national ?
Rembourser les lunettes est il un moyen de se débarrasser de la très coûteuse dette social de 170 milliards € ?
Quel futur pour la monstrueuse dette publique française ?
Pourquoi la réforme éducative est-elle impossible ?
Faut il garder 620 000 élus en France ?
etc.
Ce n'est pas un hasard si la vedette des débats a été Hamon avec son projet baroque de revenu universel... J'ai déjà vu des faux-culs, mais là c'est une synthèse, aurait dit Blier.
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