jeudi, juin 30, 2016

Gouverner c'est dépenser, gouverner c'est emprunter

L'INSEE le dit : La dette publique de la France s'est établie à 2.137,6 milliards d'euros au premier trimestre de l'année, en hausse de 40,7 milliards par rapport au trimestre précédent

Rapportée à la richesse nationale, cette dette de l'ensemble des administrations publiques, mesurée selon les critères de Maastricht, atteint 97,5% du Produit intérieur brut, contre 96,1% à la fin du dernier trimestre 2015.
Sous le mandat du Sarko la dette avait progressé d’environ 600 Md€ soit 50% en cinq ans et de 372 Md€ en quatre ans pour le Hollande qui s'emploie activement à combler son retard en distribuant l'argent qu'il n'a pas et qu'il faudra emprunter.
La victoire en 2017 serait à ce prix et on s'assoit sur Maastricht et sur le futur de nos enfants.

Histoire de vous saper le moral et de gâcher le début des vacances, on vous donne le jugement sans appel de la Cour des comptes sur la situation et les perspectives de nos finances publiques

On rappelle , mais ça n'a naturellement rien à voir avec ce qui précède, que 12 ministre des finances furent pendus haut et court au gibet de Montfaucon (à cent cinquante mètres de l'actuelle place du Colonel Fabien par la rue Albert-Camus) depuis l'an 1277, pour diverses incompétences et malversations, et que la France renia ses dettes pour la dernière fois le 30 septembre 1797 : Dominique Ramel, ministre des Finances du Directoire, ferme le marché des titres publics et fait voter une loi annulant deux tiers de la dette publique (banqueroute des deux tiers)

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