Le député de mon arrondissement est Cambadélis, également secrétaire national réélu du Parti socialiste et militant dévoué de la réélection du chef bien-aimé.
Mis à part l'affaire de son faux doctorat lancée par Médiapart et jamais vraiment éclaircie, on relève sur la notice de Wikipedia quelque juteuses distinctions.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Christophe_Cambad%C3%A9lis
Poursuivi pour recel d'abus de biens sociaux dans l'affaire Agos – Agos est une société gestionnaire de foyers de travailleurs immigrés – car il a bénéficié d'un emploi fictif entre 1993 et septembre 1995 lui ayant rapporté plus de 442 000 francs (environ 67 382 euros), Jean-Christophe Cambadélis est mis en examen en novembre 1996. Il est condamné en janvier 2000 à cinq mois de prison avec sursis et 100 000 francs (environ 15 244 euros) d'amende par le tribunal correctionnel de Paris.
Le 2 juin 1966, reconnu « coupable de recel d'abus de confiance » dans l'affaire de la MNEF, le même Camba est condamné à six mois de prison avec sursis et 20 000 euros d'amende par la 11e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris.
Une assoce (optimistes les camarades) se bat et demande que toute la lumière soit faite sur l’utilisation de
l’IRFM et réclame l’ouverture d’instructions judiciaires pour définir toutes les
responsabilités des parlementaires découlant d’un possible manquement au
devoir de probité , tel que défini dans le code pénal. Bon courage les petits!
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