Les solutions proposées (stocker, subventionner) sont de facture très ancienne et de très court terme. et ne servent à l'évidence qu'à gagner du temps et à tenter de sauver (incidemment) le Salon de l'agriculture qui menace d'être chaud pour le chef bien-aimé.
En plus, s'il ne réussit pas ( à 90 contre 1) à les convaincre, ce sera bien commode de dire, une fois de plus, aux paysans et à l'électeur que c'est la faute à Bruxelles !
Sur ce thème porteur, populaire et rebattu, on ne manquer pas de lire l'excellent article de Jean Quatremer journaliste français spécialisé dans les questions européennes
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