Dans la lutte contre le terrorisme et autres journalistes vendus à l’ennemi, la France est très équipée de services parfaitement secrets : Au choix, la DGSE, la DRM, la DPSD, la DCRI (ex DST+ RG), la DNRED et Tracfin, sans compter les anonymes qui par définition n’existent pas.
Comme la priorité de chacun des services (primus inter pares) est de ne pas se laisser doubler par le service concurrent, il y faut un coordonnateur national logé rue de l’Elysée, qui passe sa vie à essayer de deviner ce qu’ils se cachent.
Le sommet de la pyramide tronquée est la délégation parlementaire pour le renseignement dont les travaux destinés à faire la lumière sont protégés par le secret défense, surtout quand Le canard enchaîné est de la partie, c'est à dire tous les mercredis.
1 commentaire:
Accessoirement, ces officines peuvent légalement créer des fichiers "secrets" grâce à un décret passé par l'ex-sinistre de l'intérieur en 2007 (je crois). Exemple connu mais il y en a d'autres : Cristina , cousine d'Edvige qui engrange les pedigrees de tous les fauteurs de trouble potentiels et de leurs entourages. En toute infraction avec la loi Informatique et Libertés.
La CNIL n'y peut mais, avocats, magistrats et associations de défense des libertés crient dans le vent et personne ne peut contrôler ce qu'ils contiennent, pour combien de temps, qui y a accès etc. C'est pas bô ça !!!
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