La retraite, la sécu et autres gâteries du modèle social français accouché en 1945 partent en couille et aucune « réforme » visant à les maintenir n’en ralentira la perte de substance et le naufrage annoncés.
Comme les prémices économiques qui les ont permises, le monde qui les a vu naître s’est en effet effacé.
La France, île superbe et empire incomparable, s’est dissoute (nos politiciens ont énormément aidé) et nous voilà tous nus dans l’Europe alors que la timonerie et les usines du monde passent aux mains des anciens assujettis, chinois ou indiens, brésiliens etc…Salauds d’étrangers.
Les grands, les immenses mérites de nos gouvernants [Sarko en tête à la suite du Chi et de Mitterrand, et des syndicats et opposition réunis] sont le farouche déni de réalité, le refus acharné de dire la vérité (cruelle certes) et de faire comme si ils commandaient à notre destin et à celui du pays que tous unis, la main dans la main, (et l’autre dans le sac à provisions) ils mènent vers les lendemains qui chantent et les vertes pâtures des promesses.
En ce qui concerne le problème des retraites, la solution est si simple, travailler et cotiser moins, partir en retraite plus jeune avec une meilleure pension. C’est le modèle SNCF qui nous fait tous rêver.
Seuls les parlementaires ont su admirablement en perfectionner les règles pour leurs propres retraites et faire mieux dans la recherche asymptotique du toujours plus pour toujours moins.
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