La grosse fessée qu'on s'était prise sur la question du Tibet est encore brûlante et présente dans les mémoires.
Les réactions de la présidence, du gouvernement ou du Koucouche-panier du Quai d'Orsay à la nomination du dissident chinois Liu Xiaobo au prix Nobel de la paix se situent entre le mutisme total des deux premiers et le marmonnement inaudible du dernier.
Les droits de l'homme, c'est pratique pour faire la leçon à de plus petits et faibles que soi. Ailleurs c'est un emmerdement majeur surtout pour le Koukouche qui en a fait sa petite et juteuse entreprise.
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