Bartolone rejoint et votera à la primaire socialiste pour Valls. Ah bon...
Qui peut bien écouter l'inaudible Bartolone en ces temps de confusion générale et surtout, plus important qui peut l'entendre ?
Le radical Montebourg a peur de sa propre modeste radicalité, tente de joindre les mous du P.S. en obliquant discrètement vers sa droite et, fine manoeuvre de contorsionniste, propose de quitter l'Europe en y restant pour mieux la réformer tout en y touchant pas. Double salto arrière !
L'improbable et oublié Peillon, télécommandé par un groupe de dynamiteros nostalgiques des temps premiers de la Révolucion, peillonne sans rien dire, théorise sur le vide et promet un programme que tout le monde a oublié d'écrire...
Grosse concurrence pour Hamon qui en rajoute dans le culte des grands ancêtres et la célébration des rites anciens des utopies... Hamon commandement, marche arrière, toute!
Pour le reste des candidats socialos, leur obscurité les préserve de tout commentaire et les désigne au mieux comme des pions sur l'échiquier où se disputent les futurs bénéfices escomptés des alliances. Socialisme utopique ou socialisme scientifique ?
Que non, socialisme marchand...
Les socialistes ont eu tort de venir au pouvoir. Ils auraient dû faire comme Dieu : ne jamais se montrer pour qu'on continue à y croire (Coluche)
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