Le Besson de l'identité nationale est en péril. Il s'est fait traiter de Déat par JF Kahn et de Laval par Cambadélis, deux ultra-collabos pétainistes (Déat et Laval, pas les deux autres) venus de la gauche de la gauche et de la SFIO (le nom secret du PS).
Ca fait très mal mais sans soute moins qu'un procès en diffamation qui coulerait définitivement le Besson, lequel a de moins en moins intérêt à remuer la fange historique, vu la merde présente qu'il fait mousser et la mayonnaise qui prend.
Histoire de rigoler un bon coup, on rappelle la Loi du 27 septembre 1940 sur les étrangers en surnombre dans l'économie nationale. C'était le bon temps...
Art. 1°. – Les étrangers du sexe masculin âgés de plus de dix-huit ans et de moins de cinquante cinq ans pourront, aussi longtemps que les circonstances l'exigeront, être rassemblés dans des groupements d'étrangers s'ils sont en surnombre dans l'économie française et si, ayant cherché refuge en France, ils se trouvent dans l'impossibilité de regagner leur pays d'origine.
Sous réserve des formalités réglementaires, ils conservent la faculté d'émigrer dans un pays étranger.
Art. 2. – Les groupements d'étrangers sont placés sous l'autorité du ministre de la Production industrielle et du Travail qui fixe les règles de leur emploi et les met, s'il y a lieu, à la disposition d'employeurs.
Art. 3. – Le ministre de l'intérieur, qui pourra à cet égard déléguer ses pouvoirs aux préfets, désignera les étrangers appelés à faire partie des groupements définis par l'article 1°.
Art. 4. – Les étrangers affectés à ces groupements ne percevront aucun salaire ; ils pourront recevoir éventuellement une prime de rendement. Leurs familles bénéficieront d'allocations, dans des conditions fixées par décret.
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