Il y a deux heures, Sarkozy rendait hommage aux troupes françaises qui ont débarqué en Provence en août 1944, saluant plus particulièrement le "courage admirable" des unités coloniales, la principale composante de ces forces.
C'est poli, ça ne mange pas de pain et, surtout, ne donne pas de pain à manger aux tirailleurs, spahis et autres tabors allogènes dont les retraites d'anciens combattants sont justement mesurées au sévère compte-goutte du ministère de la défense.
On va pas tout de même leur payer la pension de retraite accordée aux vrais Français. Sans ça, y aurait plus de différence entre les vrais Gaulois et les colonisés, un truc à saper les fondements de l'ordre dans la société et à mettre en question les hiérarchies naturelles voulues par le Créateur.
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