jeudi, avril 06, 2017

Le drame quand on est président, c'est que si on entreprend de résoudre les problèmes, on n'a plus le temps de gouverner (Mafalda)

On entre décidément dans la période de faux deuil de la  fin du quinquennat, avec les désespérants bilans de Hollande et de ses gouvernements, à tous les coins des média, bilans vite faits avec un chômage qui ne chôme absolument pas, une dette publique considérablement accrue hors de toute perspective de remboursement avant plusieurs siècles, un déficit budgétaire toujours aussi peu contrôlable et des engagements internationaux prétentieux  et finalement peu efficaces.
Pour ne pas parler du reste...et particulièrement de la hausse des prélèvements obligatoires et autres joyeusetés fiscales.

Après le Chirac et le Sarko, c'est la même pente descendante des présidents impuissants mais auto-satisfaits qui ont tout loupé, même ses innombrables discours étaient difficilement compréhensibles et laissent le pays fractionné, affaibli, sans vision, sans candidat et sans boussole, sans politique ni parole autre que celle du politiquement correct.

La bonne nouvelle c'est donc évidemment le départ de Hollande, la très mauvaise nouvelle c'est qu'on va élire un genre de clone qui ne  changera rien à rien sinon la fortune du titulaire remplaçant et de sa mafia...

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