Ca fait plus de six mois que sans désemparer, on vogue de primaires en élections et de premiers tours en finale pas vraiment finie puisque les législatives viennent prolonger le plaisir. Et c'en est un de plaisir que de voir la droite se fracturer raide après la chute de Fifi et reconstituer les familles ennemies de la mafia qui rêvent chacune de donner un premier ministre de cohabitation à Macron. La place va être chère...
La gauche (enfin ce qu'il en reste) n'est pas plus flambante qui, à l'instar de la CGT et de la Méluche, n'est pas foutue de soutenir franchement le Macron au titre de la la subtile distinction trotskiste entre ennemi et adversaire. Les Socialos modèle Epinay essaient, eux, de coller au Macron et de se déguiser en futurs parlementaires. Dur, dur de gagner sa vie sans travailler.
Les pantalonnades des matamores font oublier que la dette publique a progressé de 50 milliards en 2016 pour atteindre 2147,2 milliards le 31 décembre 2016, selon les stats et représente 96 % de la richesse produite par la France, contre 95,6 % du PIB fin 2015.
Tout va bien. C'est où, les freins ? Et qu'est-ce qu'on fait dans un cas pareil ? demandait le mécano de la Générale.
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