Cette élection devient décidément une croix lourde à porter, quand, à force de dégager les éternels de la politique, on se retrouve avec un choix particulièrement réduit de bouches-trou vantards et incertains dont l'élection par défaut pourrait laisser présager de terribles périodes de cohabitation et d'impuissance radicale, ce qui à la vérité ne nous changera guère.
Ce pauvre Gaston Hollande, en cinq ans, a en effet tout perdu et gaspillé de son maigre crédit initial, des élections successives et de sa propre succession, et même de la survie de son parti, donnant l'impression de s'être ligoté lui même dans les méandres de son étrange énurésie verbale.
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