Pendant que la droite essaye de capitaliser sans effusion de sang sur la surprise du premier tour, la cour royale socialiste s'étripe avec un grand enthousiasme et essaye d'assassiner le lider maximo. Le notre, pas l'autre.
Poignards des déclarations les plus ahurissantes, vendettas des grands meurtris et des has been, silence bavard des hiérarques qui ne choisissent pas pour ne pas insulter l'avenir, trahisons si basses des idéologues, ambitions des grands fauves de la savane des bénéfices, fragmentations des groupes en mafias déterminées, tout y est !
La maison des Atrides fut marquée par le meurtre, le parricide, l'infanticide et l'inceste, celle de Jaurès parait l'être par la cupidité, la mégalomanie et l'arrivisme. Tout ça rappelle un peu la papauté de l'an mil quand l'appétit de pouvoir commandait à tous les débordements sous prétexte de théologie et de piété.
"Nous devons montrer ce qu'est la France partout, comment nous devons nous rassembler quelles que soient les circonstances, quelles que soient les échéances, quelles que soient les épreuves, quels que soient les choix que nous aurons à faire. Nous rassembler, c'est l'essentiel", a déclaré en réaction le président de la République dans un discours devant la communauté française de Madagascar dans le registre habituel du parler pour ne rien dire.
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