Le projet de budget pour 2017 fait l'unanimité des observateurs.
Budget de petits malins, de filous, de menteurs, préélectoral (ce qui revient au même), de fausses promesses et de vrais dépenses non financées, tels sont les moindres qualificatifs les plus utilisés et pas seulement par l'opposition.
Tout cela n'a aucune importance, c'est un budget pour rigoler, un budget d'avant les élections un budget en forme de mirage qui comprend tout et son contraire, des baisses d'impôts et une augmentation des dépense. Fort, non ?
Si la droite est élue en 2017, elle modifiera immédiatement le budget par une loi rectificative pour faire un nouveau budget.
Si la gauche est réélue, elle fera immédiatement de même car son projet actuel, même socialo, n'est pas soutenable.
Dans les deux cas, la prévision d'un déficit budgétaire réduit à 2,7% est une aimable plaisanterie pour faire risette à Bruxelles. Guili, guili, guili.
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