Coincés entre les banquiers super-rapaces et des gauchos en érection soutenue, les Grecs n’ont pas la moindre chance de survivre aux soins mortifères de leurs docteurs ou aux appétits d’ogre de leurs politiciens.
La Grèce, contagieuse, est même devenue un objet de guerre civile française entre trotskos et socialos frondeurs ou pas non pas pour s’intéresser aux Hellènes (dont tout le monde se contrebalance), mais pour façonner les alliances de 2017 et la nouvelle ligne révolutionnaire.
Comme si les Grecs n’avaient pas assez de politiciens tordus, plusieurs élus du Parti socialiste, membres des « frondeurs » et de la motion B au congrès de Poitiers, ont même décidé d’exprimer leur soutien au peuple grec avant le référendum prévu dimanche 5 juillet. Une délégation doit se rendre à Athènes ce week-end.
Chanceux, les Grecs non ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire