Il court, il court, il téléphone, il cause, il cause énarque, il vole de sommet en sommet et de réunion de la dernière chance en dernière chance de réunion, et donne l'impression débilitante de ne pas imprimer,d'être toujours hésitant, fagoté et dépassé, de vouloir s'arranger à tous les coups...alors que la France rêve d'un mâle dominant, décisionnaire et couillu comme Angela Merkel par exemple, qui n'aille pas se faire voir chez les Grecs et qui tienne ses promesses.
Ah Angela président quelle rêve ! Cette femme, quel homme! qui n'a même pas de majorité en son parlement et qui gouverne, massivement approuvé par ses mandants.
En attendant le martyr des Grecs se poursuit comme un destin maudit, étrangement similaire à celui des Argentins en 2001, qui réduisit la moitié du pays à une abjecte pauvreté. Incompréhensible arrogance de leurs lideurs qui ont apparemment plus de hombria que de savoir-faire et plus de demandes que de réserves.
La leçon était chez Eschyle et universelle. Incompétence, lâcheté et corruption sont les trois Parques qui filent le mauvais coton de la Grèce et pas seulement de la Grèce...
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