lundi, juillet 13, 2015

Fin de la scène IV de l'acte I

Les trompettes médiatiques appointées sont embouchées en France et, tout naturellement le vrai vainqueur des obscures négociations tragi-comiques de Bruxelles, n'est pas le Fourbe Grec ou la Chancelière de fer,  mais le  Hollande volant, qui ne manquera pas d'utiliser abondamment le thème pour meubler l'interviou du 14 juillet, Μετά βαϊων και κλάδων, qui signale annuellement mais doctement le décalage entre le rêve et la réalité.

Il passera sous silence que l'accord (si jamais il se concrétise ?) ajoutera 20 milliards à la dette publique française (mais qu'est ce que 20 milliards dans l'océan de la dette de presque 2100 milliards) et le fait que rien ne garantit le moindre succès du troisième plan de sauvetage de la Grèce, vu le sort fait aux deux premiers. Το πεπρωμένον φυγείν αδύνατον !!!


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