Celle-la sera d'importer immédiatement plus de bidoche et de carnes lointaines et juteuses afin de faire face à toute mesure vaguement coercitive que de toutes façons le gouvernement n'osera pas prendre.
Il se contentera gentiment d'un exercice charitable traditionnel et attribuera quelques millions pour occuper les fonctionnaires du ministère de l'agriculture et calmer la grogne syndicale jusqu'à la prochaine alerte en automne.
Gouverner, c'est procrastiner.
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