La crise grecque, tout naturellement c'est la faute des agences de notation. Encore une fois, on accuse le thermomètre pour éviter de mettre en cause le docteur. C'est pratique et ça préfigure la ligne de défense de l'Elysée quand viendra notre tour. Car l'échéance se rapproche.
Je ne sais pas pourquoi, boucher le trou grec en creusant notre propre trou me renvoie infailliblement aux travaux métaphysiques du Sapeur Camembert et à la découverte assez incroyable qu'à la fin il y a encore un trou.
Imaginons le thêatre grec chez nous ! Quel politicien osera dire la vérité à ses concitoyens et appeler à la rigueur ? Trop peur de ne pas être réélu et de quitter le magot. Ce n'est pas le trou qui est sans fond, c'est la lâcheté et la cupidité qui sont sans limite.
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