Heureusement qu'on a réintégré l'OTAN !
Le porte-avions Charles de Gaulle, le fleuron de la défense indépendante, qui sort de dix-huit mois d'entretien et réparations a un truc qui branle dans le manche et qui oblige à repartir fissa au garage.
On se souvient de la cassure franche d'un morceau d'une pale de l'hélice bâbord, le 10 novembre 2000, entre la Martinique et Norfolk, de l'allongement de la piste d'atterissage prévue trop courte, de l'essai d'un réacteur nucléaire, le 28 février 2000 qui provoqua la combustion d'éléments isolants...
On n'oublie pas non plus le coût de construction de la barquasse donné pour 3 milliards € !
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