samedi, mai 31, 2008

La valeur n'attend pas le nombre des erreurs

L’Etat-major de la Société générale comparaît en correctionnelle pour blanchiment: Daniel Bouton (président), Emmanuel de Bouard (responsable des agences), Philippe Vigue (chef de l’inspection) et Chrisitian Schrike (secrétaire général). Ce sera le point d’orgue du procès Sentier II, entamé début février, qui juge un circuit de chèques frelatés (volés ou endossés) entre la France et Israël portant sur 150 millions d’euros, dont 20% ont transité par la Société générale.

Le Bouton en question est bien sûr celui de l'affaire Kerviel, qui est classé au niveau de la 6ème rénumération des PDG du CAC.

On imagine mal à quel niveau serait monté sa rémunération s'il n'avait pas perdu 7 ou 8 milliards€ entre Kerviel et les subprimes !

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