«S’il y a une catastrophe dans la catastrophe, ce sont les autorités birmanes» Kouchner a retrouvé le ton inspiré du French Doctor d’avant, pour dénoncer le refus de la junte birmane d’autoriser l’entrée sur son territoire de l’aide internationale après le cyclone Nargis.
C’est forcément plus confortable de taper sur les militaires birmans, sourds et muets, que de s’en prendre à Ben Ali ou aux Chinois qui ont la baffe facile.
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