A l’instar de la mission Villepin à Manaus, la deuxième mission humanitaire pour Ingrid Bettancourt s’est achevée dans le ridicule.
Les frénétiques activités publiques en faveur de l’otage ont-elles eues comme première conséquence d’avoir poussé son prix à des hauteurs telles qu’il n’est plus envisageable de la racheter à un prix réalisable ?
Je relève cette note d’un journaliste indépendant
"Dans une Colombie solidaire de son président, crédité de 80% d’opinions favorables après le séjour en Europe d’Alvaro Uribe du 21 au 24 janvier 2008, la famille d’Ingrid est détestée, tant pour ses yeux doux à l’égard de Hugo Chavez et des FARC, que pour ses attaques répétées contre le gouvernement"
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