Il est plus facile de parler des droits de l'homme en Tunisie qu'à Pékin. Pas de risque pour Rafarin et Poncelet d'être envoyés en mission d'excuses auprès du potentat local connu pour son grand attachement aux valeurs démocratiques. La preuve, Rama Yade est du voyage.
En toutes petites lettres : Le pouvoir tunisien est régulièrement accusé d'attenter aux libertés fondamentales et de réprimer toute contestation sous couvert de combattre le terrorisme et l'extrémisme islamique, rappellent Amnesty International et Human Rights Watch qui font état de cas de mauvais traitements et même de torture.
En plus petit encore : Le surnom de ben Ali en Tunisie est "bac moins trois"
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