Le cadavre de Aimé Césaire n’est pas encore froid que les charognards politiques veulent s’en emparer pour le ranger au Panthéon. A ce petit jeu, la Grande royale était la gagnante.
Il est vrai que Césaire a tout du politiquement correct (gauche toute, minorité visible, département d’outre-mer, poète francophone de note, négritude, etc) et ne peut que grandir les porteurs de cénotaphe voué au transport de ses cendres.
Mitterrand a panthéonisé avec volupté, Chirac a suivi l’exemple imparable du Maître. Et maintenant ?
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