On savait depuis longtemps que le plan de rénovation des banlieues était un coup de pinceau cache-misère.
Le comité d'évaluation de l'ANRU brode un rapport coquinet sur le sujet de la non-réalisation du programme. Après les mensonges gouvernementaux sur les financements, les véroles bureaucratiques, les retards des travaux, le comité note que nombre d'élus freinent ou empêchent la réalisation du programme dans le but de maintenir l'équilibre sociologique du coin et ipso facto leurs chances d'être réélus en poussant la chansonnette avec Marx ou Jaurès.
Quo usque tandem abutere credulitas nostra?
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