Le 12 juin, j’accompagnai mon petit fils Emiliano ***** (12 ans) au commissariat central de l’arrondissement pour qu’il dépose une plainte contre les enfants du même âge, auteurs du racket avec violence (gaz lacrymogène) dont il avait été victime.
Hier, à 17H30, au même endroit, ce même petit-fils a été l’objet d’une nouvelle tentative de racket de la part de deux enfants de son âge, de race noire ( mais pas les mêmes enfants que la fois précédente) La tentative n’a pas abouti mais les deux agresseurs ont dans la foulée attaqué un petit voisin sur le trottoir d’en face, dont les parents n’ont apparemment pas jugé utile de porter plainte.
Je ne porterai pas non plus plainte à nouveau (la procédure est rapide certes, mais la queue est longue) mais souhaite simplement vous faire part de l’incident qui, vous le savez, s’inscrit dans l’inexorable montée de l’insécurité dans le quartier d’Amérique : On s’y fait désormais détrousser comme sur les routes du Moyen Age !
Je conçois parfaitement que la Police n’est pas armée pour ce genre de délit, ce qui donne tout naturellement l’idée aux résidents de mettre en place des moyens d’autodéfense pour tenter de pallier la situation avant qu’elle devienne irrémédiable.
Ma question est la suivante :
Dans quelle mesure une association de quartier peut-elle engager un ou des vigiles habilités à porter des armes de dissuasion telles que le stungun, le taser ou les projecteurs de poivre ou de gaz lacrymogène et quels sont les textes et procédures qui encadreraient une telle pratique ?
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