Hollande est en Arménie et titille le gouvernement turc pour qu'il reconnaisse officiellement les crimes des Ottomans il y a 100 ans sous les espèces du génocide.
Fabius est (modérément) aux basques de l'Indonésie (balance commerciale excédentaire) pour qu'elle révise la condamnation à mort d'un citoyen français convaincu de trafic de drogue.
L'intense publicité donnée à ces affaires interdit-elle pratiquement aux présidents turc et indonésien de changer d'avis sous peine de passer pour des mous et des velléitaires sensibles à la pression de l'étranger ? Rude journée aux affaires étrangères...
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