La France et l'Allemagne comptent présenter, avant le conseil européen des Vingt-sept, leurs propositions concrètes (prêts, promesses de prêts, garanties bancaires, garantie de souscrire les émissions du trésor grec ?) pour éviter à la Grèce une faillite.
L'Elysée estime ne pas vouloir d'aide financière du FMI mais n'exclut pas son intervention comme expert.
De la manière la plus formelle et pressante, je conseille aux Grecs de se méfier, comme de la vérole terminale, de l’expertise de la France dont les gouvernements successifs , du même parti gauchodroit, nous emmène vers l’horizon des 2 000 milliards € de dette publique en 2012, date à laquelle ce sera notre tour de passer la sébille.
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