Les syndicats (sans adhérents) mobilisent prudemment mais sûrement pour un combat qu’ils espèrent long.
Les étudiants révolutionnaires agitent prop.
Le parti socialiste couine dans le vide sidéral, le PC se mitonne la millième occasion de se refaire un petit Lénine, l’UMP se tait (et faire taire Copé est un exploit)
Le gouvernement, lui, bombe le torse (même si les ministres sont aux abris) et jure de ne pas reculer d’un pouce.
En bref, la potion à paralyser le pays prend tournure et le grand psychodrame national se met en place.
Pendant ce temps là, les Chinois vont à la plage, les Indiens prennent des RTT et le prix du pétrole diminue.
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