C'est naturellement au PDG de la FNAC, vendeur de cd, dvd et musique en ligne (groupe PPR) qu'avait été commandée l'étude en matière de lutte contre le piratage des contenus sur le Web et de développement de l'offre légale.
C’était confier la garde du poulailler au renard. Ne pas s'étonner donc que le sang coule.
Tout pour les rentiers de la musique et rien pour le consommateur. Cerise sur le gâteau, on propose une justice d'exception et des patrouilles sur le web pour juger des délits supposés. Des trucs à vous tranformer le moindre paisible sexagénaire retraité en pirate acharné et le piratage en un acte de résistance civique et démocratique à tous les goulus de la création.
Je me console et fais confiance aux geeks qui ont toujours eu quelques kilomêtres d'avance sur les vendeurs de lessives et autres Boubouroches culturels.
L'UFC-Que choisir n'est pas parmi les signataires de l'accord Olivennes et dénonce un texte "très dur, potentiellement liberticide, antiéconomique et à contresens de l'histoire numérique". Moi aussi.
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