C’est toujours une dure épreuve que de répondre aux amis étrangers qui interrogent sur la nature de notre nouvelle « crise »
Alors je fais court.
Je dis que le bruit et la fureur ne sont pas là où on les voit, que les jeunes et le chômage on s’en fout, que la seule lutte qui compte est désormais la présidentielle de 2007 dont l’issue conditionne la fortune de l’establishment, que le pays est livré aux meutes politiciennes en chasse et qu’à jouer au con on perd à tous les coups.
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