Pendant que la mayonnaise de la crise comme on les aime est en train de prendre et que les gouvernocrates se regardent le nombril avec angoisse, les bruits ambiants sont étouffés.
Comme celui-ci qui vient de Bercy :
La dette publique est passée de 64,7% du PIB en 2004 à 66,4% du PIB en 2005.
Sur les deux mêmes années les prélèvements obligatoires sont montés de 43,5 %du PIB à 44,3%.
Prévisions 2006 : Ca va baisser.
Sure, man, sure.
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