La première frappe française contre l'Etat islamique date du 27 septembre 2015, la deuxième d'hier, 8 octobre.
Le rythme est évidemment frénétique et témoigne d'une stratégie qualitative pensée visant à assurer une victoire à l'horizon du quatrième millénaire.
Le ministre de la défense soulignait d'ailleurs ce matin que, si nous dépendions des Américains pour le renseignement, notre autonomie opérationnelle était totale et en profitait pour donner des leçons aux Russes qui, comme leurs collègues américains, tapent massivement sur les terroristes sans trop faire le tri des affiliations.
Tout ce cinéma de l'impuissance ou, ce n'est certainement pas à exclure de l'indécision à la hauteur de la modestie de nos moyens, ressemble furieusement à une furieuse opération de com visant à déguiser le Hollande en foudre de guerre, maître de moi comme de l'univers et fulminant des jugements que personne n'écoute sur l'invisible résistance modérée...
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