Depuis le décret d’application du 5 février 2015, l’autorité administrative peut ordonner le blocage, sans passer par un juge, des sites Internet « provoquant à des actes de terrorisme ou en faisant l’apologie ».
Parfait, c’est simple et net (forcément) mais totalement inapplicable. Les sites web migrent, se reproduisent et se dupliquent plus vite que les énarques pondent leurs décrets et que les carabiniers cirent leurs casques à pointe.
La mesure phare de la fameuse loi antiterroriste est une couillonnade imaginée par des gugusses en manches de lustrines qui vivent au 19ème siècle. Vous pouvez les réveiller en appelant Balzac 001…
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