La pollution sur Paris est plus forte aujourd'hui qu'elle ne l'a jamais été dans le passé et la menace d'une amende de Bruxelles de 100 millions € pour inaction écologique aérienne et paresse administrative se précise.
Heureusement on a des écolos au gouvernement et, parait-il, un ministère de l'environnement, donc tous les atouts dans la manche (à air) Le ministère est particulièrement doué pour le commentaire et glose pieusement et sans rire :
Les mesures d’urgence mises en œuvre en cas de pic de pollution viennent renforcer des actions de fond portées par le Plan particules national et les plans de protection de l’atmosphère (PPA) qui sont élaborés par les préfets, dans toutes les agglomérations de plus de 250 000 habitants et dans les zones où les valeurs limites sont dépassées ou risquent de l’être.
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