Faut se méfier des Poitevins. Zont la rancune taiseuse mais longue et tenace. Le Raf' envoie un coup dans les burnes du Sarko, qui fait trembler l'Elysée.
Ce n'est certes pas parce que Raffarin représente quoi que ce soit, ni même le moindre danger intellectuel, ou signale la naissance d'un mouvement politique. Non, c'est beaucoup plus grave. Le Sénateur, ancien premier ministre de feu Chirac, défie le Prince sur l'oukase de la réforme de la taxe professionnelle.
Gravissime. Le Sénat, gavé d'or et d'honneurs, enfoui dans sa graisse et paralysé par l'inaction, reviendrait-il à la vie, ou bien, le prurit serait-il le fait d'aigris aux ambitions rentrées et à la digestion lourde ?
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